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Objet : La Police d'Ottawa : des imbéciles ou des menteurs ?

.

.

En dedans d'une trentaine de minutes après avoir téléphoné
le bureau de Chef de Police d'Ottawa afin d'être dédommagé
pour des chefs d'accusation qui se sont avérés faux il y a
plus de 10 ans, l'unité pyschiatrique de la Police d'Ottawa
composée de deux hommes et de deux femme avec bonbonne
d'oxygène et civière se sont présentés à la porte du
Président/Chef du Parti Égalité du Canada, Kenneth Sélin,

(Plate-forme politique : http://www.eh-ok.ca)

Leur but fut de l'incarcérer dans une institution
mentale.

La Police affirme à mainte reprises que M. Sélin s'enrage
facilement et souvent et qu'il perd contrôle de la suite
de ces idées ce qui est totalemenet faux et diffamatoire.

M. Sélin est cinq fois diplômé universitaire de l'Université
d'Ottawa avec mention "magna cum laude".

Certes, M. Sélin a porté plainte.

Voici le rapport déconcertant de la Police d'Ottawa commenté
par M. Sélin relatif à sa plainte.

(M. Sélin croit que c'était un coup préparé bien d'avance
par le Gouvernement du Canada de concert avec le Gouvernement
des É.-U.)
~~~~

Service de police d'Ottawa
C.P.9634, Succursale T
Ottawa (Ontario)
K1G 6H5


Le 7 avril 2006

 

Monseiur Kenneth Sélin
704-125, rue Stewart
Ottawa (Ontario)
K1N 6J3

Objet : Plainte publique no 05-0407

Monsieur,

Le 27 octobre 2005, vous avez déposé une plainte publique concernant la
conduite de l'agent William Barlow, membre du Service de police d'Ottawa.
Comme vous le savez, le sergent Gleason, de la Section des normes
professionnelles, a mené une enquête relativement à votre plainte
conformément aux dispositions de la "Loi sur les services policiers".

..

CONTEXTE
==========
Dans votre lettre, vous déclarez vouloir porter plainte contre le chef du Service
du police d'Ottawa, M. Bevan, affirmant que celui-ci avait envoyé une équipe
psychiatrique de quatre personnes (deux hommes et deux femmes) munie
d'une civière et d'un matériel d'inhalation d'oxygène à votre domicile le
27 avril 2005.

Vous expliquez qu'environ 30 minutes plus tard, vous avez demandé à un
membre de la Section des normes professionelles si vous pouviez porter
plainte contre le Service de police d'Ottawa. Vous vouliez savoir la Section
des normes professionnelles si vous pouviez être dédommagé pour une fausse
accusation de harcèlement portée il y a 10 ans.

Vous affirmez qu'une personne qui ne s'est pas identifiée vous a téléphoné et
vous a dit que le chef du Service de police lui avait donné instruction de
s'occuper de votre affaire. Vous déclarez que cette personne a exigé de vous
voir tout de suite.

Vous lui avez expliqué que vous deviez partir pour votre travail et que cette
personne avait raccroché sans vous donner son nom. Vous affirmez que dans
les 30 minutes qui suivent, soit vers 15h, cette personne s'est présenté à
votre porte accompagnée de trois autres personnes.

Dans votre lettre, vous dites souhaiter être dédommagé pour cet incident et les
fausses accusations portées contre vous et vous réclamez 500 000 $ pour
chacun des motifs invoqués.

..

ENQUÊTE
========
Nos dossiers indiquent que le 27 avril 2005, vers 10h55, un appel de service a
été effectué par un membre civil du Service de police d'Ottawa. Les
observations accompagnant cet appel de service indiquent que vous appeliez
sans cesse au bureau du chef de police, que vous harceliez les employés civils
de ce bureau. Les observations indiquent en outre que vous paraissiez
mentalement instable et que vous refusiez de cesser vos appels.

fleche

Commentaires :
1. L'appel a eu lieu vers 14h30.
2. J'ai dû faire trois appels parce que la personne répondant au téléphone
__a accroché deux fois par manque de politesse.
3. Je voulais parler à un francophone. On m'a dit que je pouvais parler au
__sergent Meilleur, mais j'ai été obligé de parler en anglais à
__sergent Bell après avoir attendu quelque 5 minutes au téléphone
__pour parler au sergent Meilleur. Sergent Bell a dit qu'il pouvait
__m'aider seulement si l'incident avait eu lieu pendant les derniers
__60 jours.
4. Remarqez le délai significatif : la Police a répondu à la plaint SIX !
__MOIS PLUS TARD. Certes, c'est pas du tout sérieux leur affaire.
__Pourquoi s'attarder tant d'y répondre. Déjà là, leur affaire est
__louche.

..

Membre Civil no 1
==============
Le membre civil no 1 a expliqué qu'elle a reçu trois appels de votre part et
qu'elle vous trouvait mentalement instable.

Le membre civil no 1 a précisé que vous appeliez au bureau du chef du Service
de police pour vous plaindre du fait que vos prestations d'aide sociale avait
été suspendues. Le membre civil no 1 a déclaré que vous lui aviez dit que c'était
la faute de la Police d'Ottawa si vous n'étiez jamais devenu maire d'Ottawa.

Le membre civil no 1 a déclaré qu'elle vous a demandé de mettre fin à vos
appels au bureau et que vos problèmes n'avaient rien à voir avec le Service de
police d'Ottawa. Le membre civil no 1 a précisé que vous étiez devenu très
perturbé et que vous avez commencé à crier que vous ne mettiez pas fin à vos
appels et que vous aviez le droit d'appeler aussi souvent qu'il vous plairait.

..

Commentaires :
1. Ses propos sont tout à fait faux, diffamatoires et mensongers.
2. Je ne touchais aucune prestation d'aide sociale car je travaillais à ce
__moment là à GPC Research.
3. Je n'ai jamais démontré un intérêt quoi que ce soit relatif à scène
__politique municipale.
4. En tout temps j'ai joui d'une bonne santé mentale ayant à mon actif
__cinq diplômes universitaires avec mention de "magna cum laude".
__En plus, je suis multilingue et président de ma propre compagnie,
__K+.
5. Dans cette lettre de la Police ont dit que j'appelais sans cesse
__et trois fois. C'est soit l'un ou l'autre, n'est-ce pas ? Soit
__j'appelais sans cesse ou j'appelai trois fois. Ou se trouve la
__vérité ?
6. Qui est-ce ce membre civile no 1 - fantôme ? (Ha ! Ha !)

..

Le détective William Barlow
======================
On a demandé au détective William Barlow de donner suite à votre plainte.
Dans sa réponse, le détective William Barlow a expliqué que, le 27 avril 2004, un
membre civil du bureau de direction du Service de police d'Ottawa l'avait
appelé pour lui faire part de ses préoccupations relativement à vos appels au
bureau du chef de police. Le membre civil l'a informé que vous aviez appelé
au bureau de direction relativement à votre chèque d'aide sociale et que vous
vous aviez expliqué chef Bevan qu'il était responsable du fait que vous soyez
pas devenu maire d'Ottawa en raison de votre passé. Le détective Barlow a
communiqué avec la Section des normes professionnelles, où on l'a informé
que vous aviez vous-même communiqué à cette section relativement à vos
difficultés.

Le détective Barlow a expliqué que la nature de cette communication était
celle d'une personne souffrant d'une maladie mentale. L'incident a été étudié
l'après-midi même par l'équipe d'urgence mobile de l'Hôpital d'Ottawa, à
laquelle un practicien avait été affecté. Le détective Barlow a précisé qu'il avait
été décidé qu'une visite à votre domicile était la meilleure façon de faire un
diagnostic en ce qui vous conerne et il a déclaré qu'il vous avait d'abord
appelé afin de fixer un rendez-vous.

Le détective Barlow a déclaré qu'il avait communiqué avec vous et vous a
informé de son identité ainsi que de la raison se son appel. Le détective a
indiqué qu'au début vous étiez rationnel, que vous souhaitiez avoir une
explication relativement au fait qu'il n'existait pas de rapport de police
remontant à un incident survenu plusieurs années auparavant. Le détective
Barlow a expliqué que vous aviez parlé de mises en accusation par les
policiers, d'injonctions, de votre ancienne femme et de vos enfants, etc. Le
détective Barlow a déclaré que vous aviez consenti à une visite des membres
de son équipe mais que vous aviez changé d'idée, déclarant que vous ne
vouliez pas les voir parce que vous n'aviez pas confiance en eux. Le détective
Barlow a précisé que vous êtes devenus inquiet et confus, que vous aviez parlé
des Maçons et des médias et abordé d'autres sujets sans lien avec votre affaire.
Le détective Barlow vous a offert d'être votre personne-ressource si vous
souhaitiez obtenir l'aide de la police et il vous a demandé de mettre fin à vos
appels au bureau de de direction du Service de police d'Ottawa. Le détective
Barlow a indiqué que vous êtes mis en colère, que vous avez déclaré être
libre d'appeler qui vous vouliez. Le détective Barlow a indiqué que vous vous
êtes mis à crier si fort au téléphone que tout le bureau pouvait vous entendre et
il a précisé que le practicien a déclaré que vous sembliez souffrant et que vous
deviez être vu par un professionnel.

À 15h15, le détective Barlow s'est présenté à votre domicile, accompagné du
practicien et d'un résident d'Hôpital d'Ottawa. Le détective Barlow a
expliqué que vous étiez en colère, que le Service de santé mentale était sur
place, que vous ne vouliez pas ouvrir votre porte et que vous avez demandé
plusieurs fois en criant à l'équipe du Service de santé mentale de s'en aller,
affirmant qu'il s'agissait de harcèlement de la part de la police. Le détective
Barlow a indiqué qu'après quelques minutes, le practicien, le résident et
lui-même ont quitté les lieux sans vous avoir vu. Le détective Barlow a
expliqué que le practicien était d'avis que vous souffriez d'une maladie mentale,
que vous étiez maniacodépressif et que vous deviez être vu par un
professionnel. Le détective Barlow a déclaré que, étant donné que vous n'avez
pas ouvert la porte, le practicien ne pouvait pas vous inscrire sur un formulaire
réglementaire en vertu de la "Loi sur la santé mentale".

Le détective Barlow a nié d'être présenté à votre résidence munie d'une civière
et d'un matériel d'inhalation d'oxygène.

fleche

Commentaires :
1. Tout a eu lieu en dedans d'une trentaine de minutes et non en dedans de cinq
__heures comme prétend faussement ce rapport truffé de mensonges.
2. Je n'ai jamais au grand jamais parlé au Chef de Police.
3. Le détective Barlow a raccroché lorsque je lui ai demandé de s'identifier.
4. Le détective Barlow a dit que si je voulais faire affaire avec la Police
__d'Ottawa qu'il fallait passer par lui et il m'était défendu d'appeler
__la Police d'Ottawa autrement et que les préposés aux téléphones avaient
__reçu des instructions de ne plus faire acheminer mes appels.
5. Le détective Barlow a dit qu'il voulait me voir sur le champs et je lui
__a dit que je me préparais pour aller au travail et donc, n'étais pas
__disposé à le voir.
6. Une vingtaine de minutes après mon entretien téléphoniqu avec lui quatre
__personnes (deux hommes et deux femmes et non trois personnes comme est
__prétendu dans ce rapport farfelu) se sont présentés à ma porte d'apparte-
__ment avec civière et bonbonne d'oxygène aux dires de Beverly Greg, une
__des locataire sur l'étage qui a vu de près le déroulement de l'incident.
7. À l'arrière-plan jouait les chansons de Julio Iglesias et j'étais en bonne
__humeur à cause de ça. Je leurs ai dit CINQ FOIS en anglais : "This is
__is VERY SERIOUS HARASSMENT. Please go away."
8. Eux me posaient à travers la porte ces questions-ci : "Who is the doctor that
__is treating you? What hospital do you go to? Just open the door and we
__will go away. etc."
9. Ils restèrent - au moins - UNE VINGTAINE de minutes avant de quitter les lieux.
10. Contrairement aux dires de la Police, je ne me mets pas en colère.
11. Contrairement au diagnostic erroné du médecin qui m'a jamais vu, je n'est
__jamais été aux prises avec la maladie maniacodépressive étant presque
__toujours de bonne humeur. Au fait, j'étais ami avec le mondialement célebre
__psychiatre d'Ottawa et professeur de l'Université d'Ottawa, Dr Victor Syrinski.
__En aucun temps m'a-t-il dit que je souffrais d'une maladie mentale quelconque.
__L'allégation que je suis ou étais maladie mentale de la part de la Police
__d'Ottawa est d'une bétise extrême en plus est de la défamation par écrit.
12. Je ne me souviens pas d'avoir abordé le sujet des francs-maçons avec le
__détective Barlow. Mais l'histoire canadienne nous démontre que notre
__système judiciaire est formé en grande partie même aujourd'hui de francs-
__maçons comme dans tout autre pays du Commonwwalth et nous sommes pas
__une démocratie à cause de ça parce que ceux qui mènenet la bureucratie
__gouvernementale sont aussi majoritairement des francs-maçons et j'ai
__constaté en ayant eu quelque 70 jobines dans une vingtaine de départe-
__ments/ministères que là où on abuse le plus de la bourse publique il
__y a une densité de francs-maçons et de paire il y a une culture d'
__exploitation sexuelle de la femme.
13. Ma femme a été violée et exploitée sexuellement au Centre de la réadaptation
__qui faisait partie de l'Hôpital Royal d'Ottawa (une institution pour les
__malades mentales). Lorsque je lui ai dit d'aller de l'avant avec des chefs
__d'accusation auprès de la Police son patron l'a obligée de me mettre dans
__l'hôpital psychiatrique pour une trentaine de jours.

..

Le sergent Luc Gleeson
===================
Le sergent Luc Gleeson s'est entretenu avec vous le 20 octobre 2005 quand
vous avez appelé la Section des normes professionnelles pour vous plaindre
que le chef Bevan avait mis fin en raccrochant à votre conversation
téléphonique avec lui le 27 avril 2005. Au cours de cette conversation avec le
sergent Gleeson, vous êtes devenu très agité et vous avez vous-même
interrompu la conversation en raccrochant. Dix minutes plus tard, vous avez
rappelez le sergent Gleeson et lui avez laissé un message. Le sergent Gleeson
vous a rappelé et vous a expliqué le processus à suivre en ce qui concerne les
plaintes du public en vertu de la "Loi sur les services policiers de l'Ontario".

Le 27 octobre 2005, le sergent Gleeson a reçu un appel de votre part. Au cours
de cette conversation, vous lui avez expliqué que vous aviez déposé votre
plainte auprès d'un membre du Service policier d'Ottawa et que vous désiriez
savoir où en était votre affaire. Le sergent Gleeson vous a expliqué que votre
plainte n'avait jamais été reçue par la Section des normes professionnelles et
vous a demandé de lui adresser par télécopieur une copie de votre plainte pour
en assurer la réception. Le sergent Gleeson a communiqué de nouveau avec
vous environ une heure plus tard pour confirmer la réception de votre plainte.

Le sergent Gleeson a communiqué avec vous le 10 mars 2006 afin d'examiner
votre plainte et de fixer un rendez-vous en vue d'une résolution possible de
votre plainte. Vous avez rappelé le 11 mars 20056 et avez laissé un long
message au cours duquel vous déclariez que vous aviez eu des difficultés
concernant le dépôt de votre plainte en octobre 2005 et que, apparemment,
cette plainte n'avait jamais atteint la Section des normes professionnelles.

Puis vous êtes êcarté du sujet et avez commencé à parler d'un dossier
psychiatrique concernant James O'Brien. Vous avez affirmé dans
votre message téléphonique que M. O'Brien avait été traduit devant un tribunal
pénal pour des questions qui selon vous étaient des absurdités. Vous avez
ajouté que vous demandiez à être dédommagé de vos pertes. Vous avez déclaré
que vous ne vouliez plus continuer à parler de votre affaire et que vous
demandiez une réponse écrite. Puis vous êtes devenu agité, soutenant que la
police fraudait le public en mettant les contribuables en accusation et vous
avez prétendu que vous étiez le président du Partie Égalité du Canada et
que la police allait voir ce que vous alliez faire concernant tous ces affaires.

fleche

Commentaires :
1. Les remarques du sergent Gleeson sont intentionnellement décousues quant
__à moi.
2. J'ai déposé ma plainte le 19 octobre auprès de la Commission civile
__des services policiers d'Ontario. (Voir http://www.eh-ok.ca/compensation.htm.)
__Dans leur lettre datée le 7 novembre 2005, M. Farideh Irandoust,
__dit et je cite la lettre, "Nous avons envoyé votre lettre au service
__de police d'Ottawa pour étre suivi." La Police d'Ottawa n'a jamais
__confirmé sa réception. Pourquoi ?
3. Pour en assurer un suivi de la part de la Police j'ai livré une autre
__plainte semblable (Voir http://www.k-x-4u.com/compensation_.htm)
__en main propre vers 16h50 le 25 octobre. Le policer no 1707, Mike
__Giddons, à la Station de Police d'Ottawa sur la rue Elgin a signé
__un accusé de réception que j'ai redigé moi-même. Or, prennant pas
__de chance, je communiquai avec le sergent Gleeson pour en avoir
__des nouvelles DEUX JOURS PLUS TARDS. Le sergent confirma à ma
__grande surprise qu'il ne a pas reçu ma plainte. Donc, je lui
__ai envoyé une copie par télécopieur cette journée-là.
2. Alors, j'ai déposé ma plainte auprès la Police d'Ottawa au mois d'octobre 2005
__et au mois 2006 le sergent Gleeson veut m'en parler et il a attendu
__un mois plus tard avant de m'envoyer le rapport par écrit. Pourquoi
__si tard ? Cette affaire est immanquablement louche sous tous ses
__aspects et souligne les manigances - voire la mauvaise foi - de la Police
__d'Ottawa de ne pas vouloir me dédommager pour des faux chefs d'accusation
__d'il y a plus de 10 ans qui m'a épuisé financièrement pour rien : tout
__ça parce qu'ils ont refusé de faire un rapport policer convenable avant
__d'aller de l'avant avec des faux chefs d'accusation. Ils ne sont pas
__venu me voir pour savoir ma version des faits. Et ils ont fait la même
__chose cette année à DEUX reprises ! C'est de l'incompétence par des
__policers PEU INSTRUITS qui ont à peine un petit d'instruction post-
__secondaire - ou pas du tout - qui par le manque de compétences à
__mon avis épuisent la bourse publique pour des choses anodines qui
__sont sans importance en mettant n'importe qui en était d'arrestation :
__il faut avoir du sérieux, il avoir une intention criminelle. Enfreindre
__la loi en soi n'est pas fort souvent sérieux.
3. En réponse à ce rapport qui vise à me diffamer (Je suis cinq fois diplômé
__universitaire avec mention "magna cum laude".), j'ai exigé une revue
__de ce rapport déconcertant par la Commission civile des services
__policiers d'Ontario dans ma lettre datée le 5 mai 2006. Au nom de
__la Commission Mme Farideh Irandoust dans sa lettre datée le 16 mai
__2006 m'a promis une décision par la Commission par écrit.

..

CONSTATATIONS:
===============
Allégation que le chef Bevan a envoyé une équipe psychiatrique à votre
domicile le 17 avril 2005 :

Un appel de service a été lancé après que vous avez appelez au bureau du chef
de police et parlé avec un membre civil affecté au bureau de direction pour
vous plaindre que votre chèque d'aide sociale avait été supprimé.

Le membre civil no 1 a déclaré que vous lui aviez dit que c'était la faute de la
police d'Ottawa si vous n'êtes jamais devenu maire d'Ottawa. Le membre civil
no 1 a déclaré qu'il vous avait demandé de mettre fin à vos appels au bureau et
que vos problème n'avaient rien à voir avec le Service de police d'Ottawa. Le
membre civil no 1 vous a décrit comme étant perturbé, précisant que vous
vous êtes mis à crier d'appeler aussi souvent que vous vouliez.

Étant donné votre comportement et vos problèmes apparents de santé mentale,
un appel de service a été lancé au au Service de santé mentale pour un suivi.

C'est le membre civil du bureau de direction qui a demandé l'appel de service,
et non pas le chef Bevan.

Le détective Barlow a expliqué que la nature de ces communications était celle
d'une personne souffrant de maladie mentale, et votre affaire a été examinée
l'après-midi même par l'équipe d'urgence mobile de l'Hôpital d'Ottawa, à
laquelle un praticien avait été affecté. Le détective Barlow a déclaré qu'il avait
été décidé qu'une visite à votre domicile était la meilleure façon de faire un
diagnostic en ce qui me concerne et le détective Barlow vous a appelé pour
fixer un rendez-vous.

Cette allégation n'est pas fondée en raison de l'insuffisance de preuve.

fleche

Commentaires :
1. Le but de l'appel au bureau du Chef de Police était de savoir comment je
__peux être dédommagé pour des fausses accusations d'harcèlement
     téléphonique il y a dix ans à mon ex-epouse qui refuse de me
__permettre de voir et de parler à mes enfants en dépit des ordonnances
__de la Court. Après avoir eu une absolution conditionnelle et après
__été tabasé psychologiquement par un agent de probation qui m'a
__retraduit deveant le tribunal pour se faire dire que toute l'affaire
__ne relevait pas du tribunal criminel mais plutôt du tribunal familial
__après avoir été obligé de dépenser beaucoup d'argent en frais d'avocat.
__J'ai fait comprendre à plusieurs policiers avant qu'ils sont aller
__de l'avant avec les accusations que l'affaire n'avait rien à faire
__avec le tribunal criminel et j'ai réiteré la même chose devant juge
__Bélanger qui refusèrent de m'écouter. Le détective Richard n'est même
__pas venu me voir pour savoir ce que j'avais à dire par rapport aux
__chefs d'accusation. Son manque de souci professionnel a fait en sorte
__qu'une personne innocente, moi, fut traduit devant le tribunal criminel
__inutilement aux grands frais de contribuables. La Police refuse d'adresser
__cette partie de ma plainte faisant semblant de ne pas la reconnaître
__pourtant c'est la raison principale de ma communication avec la Police
2. Le détective Barlow m'a dit lui-même que le Chef de Police lui a dit de
__s'en occuper de mon cas personnellement et non pas le membre civil
__no 1. (Qui est-ce ?)
3. En aucun temps je criai au téléphone comme prétend le membre civil no 1.
4. Je n'ai jamais été aux prise avec une maladie mentale : je n'ai pas
__d'antécedants psychiatriques non plus.
5. Si j'ai parlé au Chef de Police comme allègue le rapport pourquoi le
__membre civil no 1 ordonnerait au détective Barlow de me téléphoner
__et non pas le Chef. Ce n'est pas logique. C'est le Chef qui a
__l'autorité de le faire et non pas un membre du bureau du Chef.

Allégation qu'une personne a communiqué avec vous sans s'identifier et
vous a déclaré que le chef de police luis avait donné instruction de
s'occuper de votre affaire :

Le détective Barlow a déclaré qu'il avait communiqué avec vous. Il s'est
identifié et vous a expliqué la raison de son appel. Le détective Barlow a
indiqué que vous étiez au début rationnel, que vous avez déclaré vouloir une
explication et savoir pourquoi il n'existait pas de rapport de police remontant à
un incitant survenu plusieurs années auparavant. Le détective Barlow a
expliqué que vous avez parlé de mises en accusation par la police,
d'injonctions, de votre ancienne femme et de vos enfants. Le détective Barlow
a déclaré que vous avez consenti à une visite des membres d'équipe
d'urgence mobile mais que vous avez changé d'idée, déclarant que vous ne
vouliez pas les voir, parce que vous n'aviez pas de confiance en eux.

Le détective Barlow vous a décrit comme étant inquiet et confus et a précisé
que vous parliez de sujets n'ayant aucun lien avec l'affaire. Le détective
Barlow vous a offert d'être une personne-ressource à la police d'Ottawa et
vous a demandé de ne plus appeler au bureau de direction. Le détective Barlow
a précisé que vous êtes devenu très en colère, que vous avez déclaré être libre
d'appeler qui vous voulez quand vous voulez. Le détective Barlow a ajouté que
vous avez crié si fort dans le téléphone que tout le bureau pouvait vous
entendre et a indiqué que le practicien avait déclaré que vous aviez l'air
souffrant et que vous deviez être vu par un professionnel.

À 15h15, le détective Barlow s'est présenté à votre domicile, accompagné du
practicien et d'un résident d'Hôpital d'Ottawa. Le détective Barlow a
expliqué que vous étiez en colère du fait que l'équipe d'urgence mobile se soit
présenté à votre domicile et vous avez refusé d'ouvrir votre porte, demandant
plusieurs fois en criant à l'équipe d'urgence mobile de partir, déclarant qu'il
s'agissait de harcèlement policier. Le détective Barlow a indiqué qu'après
quelques minutes, l'équipe et lui-même sont partis sans vous avoir rencontré.

Le détective Barlow a expliqué que le practicien était d'avis que vous souffriez
de maladie mentale, que vous étiez maniacodépréssif et que vous aviez besoin
de consulter. Le détective Barlow a déclaré qu'étant donné que vous n'avez
pas ouvert la porte, le practicien ne pouvait pas vous inscrire sur un formulaire
réglementaire en vertu de la "Loi sur la santé mentale".

Je conclus que votre allégation est sans fondement en raison d'une insuffisance
de preuve.

..

Commentaires :
1. D'abord, la personne que m'a téléphoné un dixaine de minutes après mon entretien
__avec sergent Bell refusa de s'indentifier.
2. Je n'ai jamais inviter l'équipe psychiatrique de la Police qui avait comme but
__déclaré de m'incarcer dans l'hôpital mental ce qui m'est arrivé au mois
__d'août 1987.
3. J'ai informé Amnestie internationale au préalable de l'intention du Gouvernement
__de m'incarcérer dans l'hôpital mental. Je m'y attendais. Donc, j'ai fait
__attention de me comporter comme il faut en évitant de crier ou d'être en
__colère.
4. L'affirmation dans ce rapport que je suis maniacodépréssif est tout à fait de
__l'ordre criminel et constitue une défamation par écrit, un crime.
5. Le fait que les policier sentent libres de mentir comme bon leur semble indique
__clairement que nous vivons dans un état policier ou la Police terrorise les
__citoyens. Moi, je refuse d'être terrorisé par la Police, surtout par ce corps
__policier reconnu pour son incompétence endurcie et composé de membres avec
__très peu ou pas d'éducation post-secondaire qui gagnent des salaires mirobolants.
__Ces rapports mensongers sont responsables de l'incarcération de nombreux
__citoyens
aux frais astronomiques des contribuables. C'est claire dans mon esprit
__ que le
système judiciaire de concert avec la Police et le Procureur de la Couronne
__ fraudent délibérément les contribuables en traduisant des cas dérisoires -
__peu sérieux - devant les tribunaux sans qu'il y ait une intention criminelle.
__Le fait d'avoir enfreint la loi n'est pas en soi une raison pour traduire
__un cas devant les tribunaux. La justice est mal servie lorsque l'on permet
__à la Police de traduire n'importe quoi devant les tribunaux dans le but de
__créer du travail pour la Police, le système judiciaire et les avocats. Au fait,
__notre système judiciaire est devenu cancéreux lorsque l'on jette un coup
__d'oeil à sa croissance toujours de plus en plus grandissante en dépit du fait
__que le taux de la criminalité est à la baisse. Quelle absurdité ! On parle
__de dépenses de l'ordre de millards de dollars pour rien. Quelle mauvaise
__gestion de la bourse publique. Pourquoi ?

.

..
CONCLUSION :

============
M. Selin, veuillez comprendre que les allégations d'inconduite sont traitées
très sérieusement par le Service de police d'Ottawa et par les agents.

Je suis convaincu que le détective Barlow et le membre civil du bureau de
direction ont fait en tout temps preuve de bonne foi dans l'exécution de leurs
responsabilités.

Après avoir examiné sérieusement tous les faits de cette affaire, il est en mon
pouvoir de déclarer que les allégations ci-dessus sont sans fondement en raison
d'une insuffisance de preuve. Je vous informe que nous donnons instruction à
tous les employés du Service du police d'Ottawa d'interagir avec le public
d'une façon professionnelle.

..

DÉCISION :
=========
Conformément au paragraphe 64(6) de la "Loi sur les services policiers de
l'Ontario", aucune autre mesure ne sera prise relativement à cette plainte.

Si vous avez des questions, n'hésitez pas à communiquer avec le sergent
Gleeson, au numéro 236-1222, poste 5949,ou moi-même, poste 5830.

Si vous n'êtes pas satisfait de ma décision, vous pouvez demander une révision
de votre plainte par la Commission civile des services policiers de l'Ontario.
Cette commission relève de la province de l'Ontario et n'est pas associée au
Service de police d'Ottawa. Vous pouvez communiquer avec la Commission
civile des services policiers de l'Ontario par écrit, à l'adresse suivante : 25, rue
Grosvenor, ler étage, Toronto (Ontario), M7A 1Y6, par téléphone,
gratuitement, au numéro 1 888 515-5005 ou par télécopieur, gratuitement, au
numéro 1 888 311-7555.

Si vous décidez de demander une révision par la Commission civile des
services policiers de l'Ontario, vous devez le faire dans les 30 jours
suivant la réception de la présente lettre.

Veuillez agréer, Monsieur, l'expression de mes meilleurs sentiments.

 

Vincent Westwick
Section des normes professionnelles

c.c. : Agent William Barlow
Surintendant Peter Crosby 
~~~

Kenneth Sélin 
~~~

B.A.(Psychologie), B.A.(Espagnol), B.Admin.,
B.Comm.(Spécialisation), B.A.(Italien) "magna cum laude"
~~~
Président/Chef 
du Parti Égalité du Canada

http://www.eh-ok.ca
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DÉcriminalisons le Gouvernement :
à TOUS ! les niveaux.

fleche