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Date : le mercredi 28 novembre 2001

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Objet : De la maladie mentale à l'exploitation sexuelle...

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Marie-Claude (Mme Pednault),

D'abord, je tiens à vous remercier pour l'accusé de réception de mes
commentaires.

J'aimerais vous relater une expérience personnelle en ce qui concerne
"la maladie mentale" et la voici.

Mon ex-épouse m'a téléphoné vers 14h un apres-midi au mois de juin ou juillet
en 1984 pour me dire qu'elle avait participé
dans une activité sexuelle non-
consentante au travail. Je n'ai pas pu
comprendre la porté des ses propos et
restai incrédible jusqu'en 1986
lorsque je me rendais à l'évidence qu'elle se
faisait exploiter
sexuellement au travail au Centre de la Réadaptation qui fait
parti
en passant de l'Hôpital Royal, un "hôpital mental" à Ottawa qui se nomme
"The Ottawa Health Care Group" et c'est à ce moment-là que je lui ait
fait
comprendre qu'elle devrait porter des chefs d'accusation
d'exploitation
sexuelle contre son employeur devant le tribunal criminel.


C'est à ce moment-là que son employeur l'a mis contre moi. Elle composait
9-1-1 souvent pour appeler la police. Elle est allée à un abri pour femmes
battues et appelé ma famille de là, et finalement elle m'a incarcéré dans
l'Hôpital Royal le 27 aout 1987, la date de notre 10ieme anniversaire de
marriage. Par la suite, elle m'a confié que c'était son employeur qui l'avait
obligé à faire et qui a arrangé mon incarcération après mon
absence de
60 jours (Les 30 derniers des 60 jours je l'ai ai passé chez
ma mere à North
Bay, Ontario.) On a eu un troisième enfant au mois de
décembre 1989.
(Bientôt, Léo qui va avoir 12 ans, est 5'9'', pese 143
livres et chausse des
13. v_v) Pendant son assistance à des séances de
thérapies psychologiques
après sa naissance elle me divorça. Et
jusqu'aujour'hui -- quant à moi -- elle
continue à se faire "mener" par
son employeur qui ne veut pas être traduit
devant le tribunal criminel.


Mais le pire de tout ça est qu'après avoir fait beaucoup de recherches de
ma part j'ai arrivé à des CONSTATS tout à fait E-F-F-R-O-Y-A-B-L-E-S : les
femmes sans exception se font exploiter sexuellement dans le milieu hospitalier
et dans tous les secteurs parapublics et publics tant au niveau
municipal,
provincial que fédéral. Et ça se passe EN PLEINE CONNAISSANCE DES

DIRIGEANTS DE SES BUREAUCRATIES MAFIEUSES (voire FRANC-
MAÇONNIQUES) des
ces organes (soi-disant) publics.

L'autre constat est que dans la mesure qu'il y a d'EXPLOITATION SEXUELLE
DE LA FEMME, il y a PARALLELEMENT l'EXPLOITATION FRAUDULEUSE DE
LA BOURSE
PUBLIQUE faute de vérification à l'improviste des livres publics
telle
que pratiqué dans le monde bancaire.
 
Par ailleurs, ma paroisse, Sacré-Coeur, une des paroisse clefs d'Ottawa
m'a refusé de l'aide pastorale plus de trois fois pendant une période de
cinq ans lorsque j'avait des troubles avec mon épouse : au fait, je me suis
tres bien expliqué auprès du Père Comeau pendant une séance de plus

d'une heure pour me faire dire qu'il ne pourra pas aller à l'encontre de la
conscience de ma femme et donc ne pouvait rien faire : c'était sa
réponse
réfléchie trois mois plus tard, et le Père LeMarier m'a joué
le même tour, lui,
un théologien de l'Université de Saint Paul où j'ai
réussi un cours de théologie
avec beaucoup de succès, et le combre est
que plus tard l'Église annula mon
mariage parce j'avais "supposément" un
problème psychiatrique ce qui tout à
fait faux. J'ai aucun antécédent
psychiatrique.

En plus, j'ai dû avoir recours au Nonce apostolique au Canada pour en parler
de ma situation avec un évêque car personne dans l'Église locale
voulait
m'aider. J'ai pu finalement parler à Monsigneur O'Brian, l'évêque
auxiliaire
d'alors, pour me faire dire qu'il refusa de m'aider pastoralement
pour que je
puisse voir mes enfants en prétextant que mon problème en était
un de
l'ordre "légal" et non pastoral. (Même aujourd'hui, je vois rarement
mes
enfants.)


Il est important à noter que le Pape, lui qui proclame sur la place publique
son allégeance avec brio à la Sainte Vierge, n'a jamais parlé
de l'exploitation
sexuelle de la femme sur la place publique : quel
hypocrite !

Il est aussi important à noter que j'ai soulevé cette question d'exploitation
sexuelle de la femme auprès des organisations féminines
nationales ici à
Ottawa l'an dernier pour me faire dire qu'elles n'ont
pas de resources pour
en parler. Cependant, elles m'ont encouragé de le
faire. Incroyable,
n'est-ce pas ?


Ma seule consolation dans toute "cette sale affaire" est la certitude que le
Bon Dieu n'est pas du sexe masculin. (Ha ! Ha !)


Soyez assurée, Madame, de mes meilleures et plus sincères salutations,

fleche

Ken
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P.-S. : Je vous prie de transmettre ce courriel à vos paires pour mettre fin à
l'exploitation sexuelle de la femme au travail dans le secteur
public/parapublic.
P.P.-S : Veuillez me pardonner pour le manque de certains accents dans
ce courriel : j'espere d'avoir réussi mon coup tant bien que mal. v_v

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Date : le mercredi 28 novembre 2001

Objet : «Vivre avec la psychose» :
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voici mes commentaires.



Bonjour Monsieur,

Je tiens à vous remercier d'avoir pris le temps de nous écrire.

Il est important pour nous de recevoir les réactions et les commentaires
de nos téléspectateurs. Soyez assuré que votre message a été transmis à
l'équipe qui a préparé ce reportage.

Bonne journée,

Marie-Claude Pednault
Recherchiste - Enjeux

~~~


Date: le mardi 27 novembre 2001

Objet :Vivre avec la psychose : voici mes commentaires.

 



Bonjour,

Votre émission, «Vivre avec la psychose», c'est du "vieux jeu" quant
à moi : bien entendu la maladie mentale existe.

Ce qui serait beaucoup plus intéressant c'est de savoir comment les
psychiatres (quasiment "toute la gang" il me semble) abusent de ces
gens-là en jouant le jeu fort payant des compagnies pharmacologiques
dans lequel ce monde souffrant ne sont que des pions.

Par dessus ça, ajoutons le maniement de notre apparat de santé canadien
par les francs-maçons et vous allez comprendre pourquoi les contribuables
vont continuer à se faire saigner par une BUREAUCRATIE PUBLIQUE MAFIEUSE
qui ménace depuis toujours notre santé économique dans le secteur publique
grâce à notre patrimoine britannique comme ailleurs dans le Commonwealth.

Je pense que j'en sais quelque chose parce que j'ai travaillé neuf ans au
Sénat du Canada et j'ai fait entrer le syndicat sur la Coline parlementaire
tout seul avec l'aide de Yolande Viau de l'Alliance de la Fonction publique
en 1984 pour aider à l'assainir.

Au fait, selon moi, "le tout premier" Premier ministre "canayien" (canadien
français) du Canada n'aura pas pu être Premier ministre du
Canada sans
être membre des francs-maçons.


Salut,



Ken
~~~
Fondateur (et le seul membre) du parti politique, Égalité
http://www.eh-ok.ca

fleche