Attention : Joel, du Bureau de Madelaine Meilleur, députée provinciale
(En passant, son chum est mon chum de l'Université, Marc LeBoutillier,
Vice-Président de Gamma-Dynacare Medical Laboratories.)
Attention : Martin, du Bureau de Mauril Bélanger, député fédéral
(En passant, Mauril, c'est mon chum d'École secondarie Algonquin
de North Bay.)
Veuillez appeler le Bureau du Chef de Police, Ottawa, (613) 236-1222,
pour savoir comment se fait-il que la Police d'Ottawa a décidé d'envoyer
l'unité psychiatrique de quatre personnes avec civière et génératrice
d'oxygène à ma porte d'appartement, 704-125 rue, Stewart, Ottawa
dans la Côte de Sable l'après-midi du 27 avril 2005 une trentaine de
minutes après j'ai téléphoné le Bureau du Chef de Police.
Quant à moi cette réponse inusitée constitue de la brutalité psychologique
extrême de la part de la Police d'Ottawa.
Il s'agit de savoir pourquoi.
Ils ont réagit excessivement vite qui me laisse croire que c'était un coup
planifié à l'avance.
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L'incident
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J'ai téléphoné le Bureau du Chef de Police pour savoir si on peux traduire
quelqu'un devant le tribunal sans rapport de Police.
J'ai insisté de parler à un francophone et la personne qui a référé mon
appel m'a rassuré que je pouvais parler à un francophone, le sergent
Maheux.
Le sergent Bell, un anglophone m'a dit que le Sergent Maheux ne pouvait
pas prendre l'appel et que je devais lui expliquer la situation.
Le Sergent Bell m'expliqua que l'incident auquel je faisait référence n'a
pas eu lieu pendant les derniers six mois et donc, ne pouvait pas m'aider.
Pour avoir ces informations, j'ai dû faire trois appels. Lors du premier
appel une des adjointes administratives du Chef de Police m'a raccroché
au nez.
Après avoir tout juste de parler avec le Sergent Bell, quelqu'un m'a
téléphoné pour dire que qu'il voulait me voir chez moi tout de suite
disant que le Chef de Police l'a nommé pour s'en occuper de mon
cas.
Il insistait qu'il fallait que ça soit tout de suite.
Je lui ai dit que je me préparait pour aller travailler et que ça serait
préférable de venir demain.
Il m'a dit qu'il allait donner des instuction aux policiers de ne pas faire
acheminer mes appels. Autrement, il m'interdisait d'appeler la Police.
Je lui a dit que je pouvais toujours communique par écrit et que c'était
mon intention de le fairepour régler mon cas.
Lorsque je lui ai demandé de s'identifier, il refusa et accrocha le récepteur.
Une vingtaine de minutes plus tard, l'unité psychiatrique ANGLOPHONE
de quatre (4) personnes (deux hommes et deux femmes) cognaient à ma
porte et me demandaient à travers la porte le nom de mon médecin et le
nom de l'hôpital que je fréquentais. (En passant, je n'ai pas de médecin
et je ne fréquente aucun hôpital.)
Je leur ai répondu mainte fois : "This is VERY SERIOUS Police harassment.
Please go away."
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Appels d'harcèlement
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N'ayant pas vu mais enfant plus que neuf (9) mois, j'ai fait 52 appels EN
FRANÇAIS pour demander à ma femme de pouvoir voir mes enfants.
Mon ex-épouse a dit que ça eu lieu pendant 10 jours. Aucun des appels
faisaient preuve NI de date et NI de l'heure des appels.
La personne en charge de ce dossier, le Détective Richard, me téléphona
chez moi pour dire EN ANGLAIS qu'il voulait me voir parce que j'ai fait des
appels à mon ex-épouse.
Je lui expliqua qu'elle m'empêcha de voir mes enfants et que les appels
n'étaient pas d'harcèlement du tout. Il s'est fâché et m'accrocha au nez
et n'est pas venu me voir avec son collège à 19h tel que promis.
C'est certain IL AURAIT PU ME DONNER UN AVERTISSEMENT que
Police allait considérer mes appels à ma femme à l'avenir comme
étant de l'harcèlement. PAS D'AVERTISSEMENT !
Tout de suite, je commença à téléphoner le plus grand nombre de
policiers pour expliquer que toute l'affaire n'avait rien à faire avec le
tribunal criminel et je demanda pour UN DÉTECTIVE FRANCOPHONE.
Rien à faire.
En fin de compte, j'ai dû porter plainte : CINQ (5) auprès du Bureau
du commissaire des plaintes contre la Police (dossier no 30088/95,
30044/95, 30069/95, 300115/95, 30073/95). Et là aussi, je fus obligé
à faire affaire à UN AUTRE ANGLOPHONE malgré ma demande de
parler à un francophone.
Pour régler toute l'affaire au plus vite et POUR NE PAS INCOMMODER
MA FEMME ET MES ENFANTS AVEC CE DRAME, j'acceptai eu une
absolution conditionnelle qu'il m'a été offerte par la représentante de
la Couronne.
À MON INSU, j'avais un an de probation avec Greg McMullan, UN
ANGLOPHONE. Après de m'avoir subi huit (8) mois d'abus de ce
monsieur, j'ai demandé pour un francophone.
Son patron, M. Vachon, refusa ma requête parce que M. McMullan
avait l'intention de me retraduire devant le tribunal à la fin de ma
période de probation pour bris de probation. Je porta plainte à la
Commission de droits francophones. Elle n'a pu rien faire pour moi.
M. McMullan m'a dit qui avait l'intention de demander au Tribunal de
m'imposer UN TRAITEMENT PSYCHIATRIQUE DE TROIS ANS et
chaque mois je tentai de lui faire comprendre que mon ex-épouse
ne respectait les ordonnances de la cours en ce qui concernait mon
accès à mes enfants. Il se contentait de me dire avec un sourire
mesquin aux lèves que je n'étais pas bébé-la-la.
Au fait, la juge décida que la matière ne relevait pas DU TOUT du
criminel mais de la Cours familliale.
Tout ce tra-la-la POUR RIEN de la part de la Police et ça m'a crevé
financièrement.
La conclusion de ladite juge revèle que les ACCUSATIONS d'appels
d'harcèlement furent FAUSSES et prouve que la poursuite de la
Couronne contre moi fut DE TOUTE ÉVIDENCE MALICIEUSE.
Donc, je suis en droit d'être dédommagé. Non ?
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Policiers incompétents ou fraude des contribuables ?
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C'est clair dans mon esprit que les policiers ne sont PAS ASSEZ
INSTRUITS pour "BIEN" remplier leurs tâches et font des bavures
énormes qui coûtent le système judiciaire des millards et des
millards de dollars qui sortent des poches des contribuables.
Il vont même mettre des sans-abri et de patients mentaux en état
d'arrestation qui sont INCAPABLE D'AVOIR UNE INTENTION
CRIMINELLE.
On ne peut en revenir à deux conclusions en ce qui concerne les
bavures des policiers : soit c'est de INCOMPÉTENCE ou c'est
UNE CONSPIRATION POUR FRAUDER LES CONTRIBUABLES.
N'oubliez pas chaque année le Chef de Police d'Ottawa menace
le Conseil municipal en disant que la part du budget municipal
relevant des services policiers n'est pas assujetti à l'étude et
doit être passé tel quel. Conséquemment, son budget grossit
de façon cancereuse.
Il me semble que son comportement en tant que serviteur à la
protection du public vis-à-vis les échevins n'est que du GANG-
STÉRISME ! Il agit de toute vraisemblance à titre d'EXTORQUEUR.
ET le fait que aucun échevain ose l'intérroger sérieusement
sur budget de la Police d'Ottawa me laisse croire que les
ÉCHEVAINS sont carrément TÉRRORISÉS par lui.
Je me rend compte juste qu'à quel point qu'IL EST IMPÉRATIF
d'avoir des policiers hautement instruits, intelligents avec une
bonne formation universitaire.
Avec un tel corps de policiers on peut réduire le nombre de
cas devant les tribunaux ainsi que le nombre de juges par au
moins deux tiers (2/3), j'en suis certain.
Par ailleurs, la Province vient d'embaucher 36 (NOUVEAUX !)
juges. Est-ce VRAIMENT NÉCESSAIRE ?
Qui en bénificie d'un tel SYSTÈME D'HORREURS hors de
contrôle ? Ils sont les FRANC-MAÇONS qui sont avocats
ui gardent les les contribuables en otage parce que c'est
eux qui ont LE MONOPOLE DU SYSTÈME JUDICIAIRE
comme dans tous les pays du commonwealth britannique.
Qui paie la note dégueulasse et saléE de CE SYSTÈME
JUDICIAIRE PERVERT ? LES CONTRIBUABLES.
Qui se fait déjouer ? LES CONTRIBUABLES.
Il me semble ce qui est de VRAIMENT CRIMINEL c'est que
TOUS LES CAS FARFELUS COMME LE MIEN qui constituent
à prime abord UNE CONSPIRATION POUR FRAUDER
LES CONTRIBUABLES.
Et l'ironie du notre système judiciaire on cherche à traduire
n'importe qui pour n'importe quoi leur imputant une intention
criminel tandis que tout foncitionnaire s'échappe aux grappins
de notre système judiciaire. On crée des commissions aux
quelles on va nommer de juges franc-maçonniques, des
marionnettiste-en-chef, qui vont TOUJOURS BLANCHIR
le Gouvernement allégant qu'il n'y avait pas ni d'intention
criminelle et ni preuve criminelle. Ça me fait penser à la
Commission Gomery et la Commission de Wakerton.
Même chose pour les rapports de vérificateurs généraux
tant au niveau provincial qu'au fédéral. Personne n'est ni
limogée ni mutée à un poste inférieur après leur parution
annuelle dans lesquels sont détaillés les instances de
mauvaise gestion financière (que j'appelle tout bonnement
la fraude). Au fait, ils reçoivent des augmentations salariales
ET DES BONIS ! Demeurons-nous dans le monde d'Alice
au Pays des merveils ? Je soupçonne depuis que je travais
au Sénat du Canada en 1975 que OUI. J'ai vu de la criminalité
au Sénat mais le fait d'être assermenter m'empêche de dire
quoi que ce soit. Toutefois, une chose est claire : on peut agir
avec grande facilité à titre criminel au Gouvernement sans
avoir peur d'être traduit devant les tribunaux. C'est L'AVANTAGE
MAJEUR d'être fonctionnaire. Combien de fonctionnaires se
retrouvent dans notre système de pénitenciers ? Aucun à ma
connaissance.
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Résumé
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En tant que Franco-Ontarien qui VEUT SE FAIRE SERVIR
en français, j'étais FORCÉ à parler à Sergent Bell, à Détective
Richard et à Cathy Cannon, Intake Officer/Administrator, East
Region, Bureau du commissaire des plaintes contre la Police,
et à Greg McMullan, mon agent de probation y compris tout
récemment, l'unité psychiatrique de la Police EN ANGLAIS.
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L'aspect plus LARGE
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Mon ex-épouse s'est fait exploité sexuellement à son travail
au Centre de Réadaptation qui faisait parti du l'Hôpital Royal
d'Ottawa d'alors.
Elle m'a téléphoné à mon travail au Sénat au mois de juin
1984 pour me dire qu'elle avait eu de rapports sexuels au
travail non-consentants et moi, je lui disait que quelqu'un
me venait de me téléphoner de Royal Trust pour dire que
nous avons gagné un magnétoscope. Je n'ai pas saisi ce
qu'elle m'a dit : elle ne pleurait pas. Elle m'a juste annoncé
ça comme ça.
C'est seulement plus tard que je comprennais qu'elle se
faisait exploité sexuellement au travail que je lui ait dit
d'aller à la Police et porter plainte.
C'est à ce moment-là que son patron, Danis Buchanan,
l'a mis contre moi lorsque je lui conseillai de porter des
chefs d'accusation de viole et d'exploitation sexuelle à
la Police.
Tout tourna au désastre !
Impossible de lui parler. Elle composa le 911 et la Police
était à la porte.
En passant, son patron, Danis Buchanan, avait son propre
cabinet de consultation privée à l'angle de Symthe et
St-Laurent auquel il se référait des patients du Centre
de réadaptation où il était le Chef du Centre de psychologie
et auquel il voula que ma femme travaillât en tant qu'employée
du Centre de Réadaptation. Je déconseilla ma femme de
le faire parce qu'elle n'était pas son employée mais plutôt
l'employée de Centre de réadaptation.